There’s a Child in There! A Family Breaks an 800-Year-Old Coffin in a Failed Museum Photo Op

A couple wanted a picture of their child inside an ancient sarcophagus. That’s when things went wrong.

On a recent visit to Prittlewell Priory Museum in Southend, Essex, a couple placed a child over an exhibit barrier and inside an ancient sandstone coffin in the hopes of snapping a morbid photo. As a result, part of the sarcophagus—which was already in three pieces—fell to the floor, and a chunk of it broke off, according to the BBC.

The family fled the scene without reporting the damage but were caught on the museum’s security camera.

Conservator Claire Reed, who has been charged with restoring the coffin, said the incident was “upsetting” for the museum staff who “strive to protect Southend’s heritage for the benefit of our visitors.”

In a statement, Ann Holland, Southend’s executive councillor for culture, said: “The museum conservator is currently assessing the damage to the coffin and will carry out the repair using materials and techniques suited to the object.” She added that the area around the coffin would be cordoned off but that the affected part of the museum would re-open “as soon as possible.”

The incident follows a spate of visitor mishaps at museums in recent years. In 2014, a visitor to London’s Tate Modern spotted a child lying on a Donald Judd “Stack” sculpture. In February of this year, a selfie-taker smashed a Yayoi Kusama pumpkin sculpture at Washington, DC’s Hirshhorn Museum. In July, a woman damaged $200,000 worth of art while taking a selfie at a Simon Birch exhibition in Los Angeles. And just last week, at the Center of Fine Arts in Brussels, a man stepped into an Yves Klein installation—a bin filled with International Klein Blue-colored sand—leaving a trail of blue footprints throughout the museum.

Source : A Family Breaks an 800-Year-Old Coffin in a Failed Museum Photo Op

Grotte de Bruniquel : les stupéfiantes constructions de Néandertal

Dans la profonde grotte de Bruniquel, au-dessus de l’Aveyron, des Hommes de Néandertal ont aménagé des feux pour s’éclairer. Ils ont aussi cassé et déplacé plus de deux tonnes de stalagmites pour construire d’énigmatiques structures. La datation en fait un record : 176.500 ans, une époque bien antérieure à tous les cas connus d’occupation humaine de grottes.

C’est sans doute la nouvelle archéologique de l’année : des constructions humaines trouvées au fond d’une grotte profonde du Tarn-et-Garonne, dite de Bruniquel, ont été datées : elles remontent à -176.500 ans, soit 140.000 ans avant les peintures de la grotte Chauvet, le plus ancien art pariétal connu jusqu’ici. (…)

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Quand la pollution au plomb raconte Naples

Des traces de plomb décelées dans le port antique de Naples ont révélé un pan de l’histoire romaine de la ville.

À Naples, la construction d’une ligne de métro peut mener à de nouvelles découvertes sur le port antique. Des scientifiques du laboratoire Archéorient (MOM, CNRS) y ont analysé les couches de sédiments déposés au cours des siècles afin d’étudier l’impact de l’éruption du Vésuve, intervenue en 79 de notre ère. Un dépôt qui se trouve à quelques mètres sous le niveau de la mer actuel.

Lire la suite : http://www.nationalgeographic.fr/27889-quand-la-pollution-au-plomb-raconte-naples/#utm_campaign=20160523&utm_medium=e-mail&utm_source=NL_hebdo&xtor=EPR-4-[NL_hebdo]-20160523

 

 

124-Sorbonne. Carnet de l’École Doctorale d’Histoire de l’Art et Archéologie

Avec ce carnet, l’École Doctorale 124, Histoire de l’art et archéologie, de l’Université Paris-Sorbonne souhaite créer un outil et un espace de valorisation des recherches effectuées par les doctorants de l’École Doctorale. Espace de publication, ce carnet sera le lieu où de jeunes chercheurs, doctorants et docteurs, pourront publier leurs premières recherches. Dans ce carnet, l’École Doctorale publiera en effet les Journées doctorales qu’elle organise chaque année et au cours desquelles les doctorants présentent leurs recherches dans le cadre d’une thématique annuelle, tant en archéologie qu’en histoire de l’art. Il pourra aussi accueillir la publication de journées d’études organisées par les équipes de recherche rattachées à l’École Doctorale et impliquant des doctorants.

Source : 124-Sorbonne. Carnet de l’École Doctorale d’Histoire de l’Art et Archéologie

Plongée dans les entrailles de Londres – National Geographic

Depuis le début des travaux, en 2009, à  l’occasion des travaux de terrassement de la nouvelle ligne de métro londonienne, qui doit relier le grand Londres d’est en ouest, les 42 km de tunnels et la quarantaine de chantiers du Crossrail ont permis de mettre aujour des milliers d’objets et de fossiles, couvrant 70 000 ans d’histoire.

Creusez la chaussée de Londres, et vous trouverez de tout : une fresque romaine du Ier siècle, une paire de patins à glace médiévaux, une dent d’éléphant…

1- Un millefeuille archéologique millénaire
2- Le chantier du Crossrail, un incroyable filon pour les archéologues
3- L’énigmatique « pierre de Londres »
4- À Londres, l’archéologie n’est pas que souterraine

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Source : Plongée dans les entrailles de Londres – National Geographic