Tate Britain is to rehang its entire collection as it reinstates proper labels explaining what the art is about, it has emerged, as its director says he wants to invite audiences to understand the works properly.
Alex Farquharson, who took over Tate Britain 18 months ago after the surprise departure of Penelope Curtis, said he will be grouping paintings into themes in a bid to improve the audience experience.
Chris Stevens, curator, explained in 2013: “Your [the audience’s] response is as valid as our knowledge, and this re-hang presents a sort of release for the artist and their work from this encumbrance of academic protocols.” (…)
Marguerite ”Peggy” Guggenheim was born in New York in 1898 to a Jewish family. Her biographer Jacqueline Bograd Weld said that it wasn’t just Marguerite who was fascinating as a subject, but that her entire family was full of wonderful eccentricities. Her mother Florette Seligman who came from a family of bankers was known to repeat everything three times, while one of her aunts used to sing most of what she said, possibly leading her husband to an early death. Her father, Benjamin Guggenheim was member of the prominent mining family. They had two more daughters – Hazel and Benita, who were Peggy’s only companions in her childhood and who both lost their lives tragically as young women. The family enjoyed the wealth and comforts of high society. For Peggy, those early years of bourgeois lifestyle were insufferably boring. When her father died on the RMS Titanic she was 13 years old and her family fortune was already decimated. At the age of 19 she inherited her father’s money. She called herself a poor Guggenheim, which was true only in a sense that her inherited wealth was considerably less than that of her cousins. This was just one more thing setting her apart from what she knew. Peggy craved adventure, fulfillment and recognition. Rebelling against aristocratic lifestyle and future as some rich guy’s wife, she found a job in the avant-garde bookshop The Sunrise Turn, where she was exposed to artist and radical thinkers. A year later, in 1921, she moved to Paris, to a city that was giving birth to an art revolution. She marveled at the bohemian world, sharing it intimately with women and men like Kiki de Montparnasse, Man Ray, James Joyce and Ezra Pond. It was in Paris where her love for sex and art was fully awakened.
Left: Man Ray – Peggy Guggenheim, 1924, photo via jewishcurrents.org / Right: Peggy Guggenheim in in her bedroom; Behind her Alexander Calder’s Silver Bed Head (1945–46), 1961, photo via provokr.com
Des explorateurs occidentaux se sont implantés en Chine plus de 1500 ans plus tôt que ce qu’avaient estimé les spécialistes ! C’est ce que révèle une nouvelle étude après que des archéologues aient découvert que les guerriers en terre cuite auraient pu être fabriqués avec l’aide des grecs.
Les 8000 statues, qui gardent le mausolée du Premier Empereur, semblent avoir été faite sous la direction d’un sculpteur européen qui travaillait avec les locaux sur le site et qui puisa son influence dans la Grèce antique.
Une étude extensive des sites dans la province du Xinjiang a révélé de l’ADN mitochondrial spécifiquement européen, suggérant que des voyageurs occidentaux y ont vécu pendant la période du Premier Empereur.
La découverte a été saluée comme ‘la plus importante de toute au cours des quarante dernières années”, surpassant la découverte de l’Armée en terre cuite elle-même en importance.
Ce serait le premier contact documenté entre l’Occident et la civilisation chinoise jamais enregistré à ce jour, et découvert par les archéologues du mausolée lors de fouilles sur le site.
Ces découvertes clés comprennent les preuves que les trésors dans la tombe du Premier Empereur ont été créés avec l’aide des occidentaux, en s’inspirant de statues de la Grèce antique.
Le complexe funéraire lui-même s’est révélé être “bien plus grand qu’on ne le pensait“, avec 61km², il est 200 fois plus grand que la Vallée des Rois en Egypte. Deux routes sortant du complexe ont été identifiées grâce aux drones.
Les scientifiques sont particulièrement excités pas la découverte d’ADN suggérant que des occidentaux vivaient dans la région au temps de Qin Shi Huang, entre 259 et 210 avant JC.
Selon le Dr Li Xiuzhen, archéologue principal au Musée du site du mausolée de l’Empereur Qin Shi Huang: “Nous avons maintenant la preuve que des contacts étroits existaient entre le Premier Empereur de Chine et l’Occident avant l’ouverture officielle de la Route de la Soie. C’est donc bien plus tôt qu’on ne le pensait auparavant.”
La tombe du Premier Empereur fut influencée par l’arrivée de statues grecques en Asie Centrale
Des preuves de ce contact, estiment les experts, peuvent être trouvées dans le style des guerriers en terre cuite, alors “qu’aucune tradition de construction de statues de taille humaine” n’a été identifié en Chine auparavant.
Le Professeur Lukas Nickel, président de l’Histoire de l’Art Asiatique à l’Université de Vienne, pense que la tombe du Premier Empereur fut influencée par l’arrivée de statues grecques en Asie Centrale au cours du siècle suivant Alexandre le Grand: “J’imagine qu’un sculpteur grec était sur le site pour former les locaux“.
“Nous pensons maintenant que l’Armée de terre cuite, les acrobates et les sculptures en bronze trouvés sur le site ont été inspirés par les sculptures et l’art grec” a jouté le Dr Xiuzhen.
Pour le Professeur Zhang Weixing, archéologue en chef sur le site du tombeau, “le travail archéologique mené ici est le plus important au cours de ces 40 dernières années. En examinant minutieusement la tombe principale du Premier Empereur et les enterrements subsidiaires, nous avons découvert quelque chose de plus important même que l’armée de terre cuite“.
D’autres découvertes faites sur le site comprennent les ossements mutilés d’une jeune femme, qu’on estime être une concubine de haut rang, enterrée avec des bijoux précieux faits en perles et en or.
Le crâne d’un jeune homme, dont on pense qu’il serait celui du Prince Fu Su, le fils ainée du Premier Empereur, a été trouvé enfiché d’un carreau d’arbalète