Ernest Pignon-Ernest à Nice : sur les traces d’un pionnier de l’art urbain

Ernest Pignon-Ernest à Nice : sur les traces d’un pionnier de l’art urbain

Le Mamac de Nice propose jusqu’au 8 janvier 2017 “Les traces d’un parcours”, une grande rétrospective consacrée à Ernest Pignon-Ernest.

Une exposition conçue par l’artiste qui présente ses principales œuvres urbaines et dévoile aussi les différentes étapes de son travail de création avec de nombreux croquis et dessins.A 73 ans l’artiste niçois investit le Musée d’art moderne et d’art contemporain pour cette grande retrospective qui balaie 50 ans de carrière. Considéré comme l’un des initiateurs de l’art urbain en France, avec Daniel Buren et Gérard Zlotykamien, Ernest Pignon-Ernest nous ouvre ses archives et dévoile tout le processus de création, ses recherches et ses hésitations. Croquis préparatoires et dessins révèlent un engagement sans concession, mais aussi une profonde exigence artistique. (…)

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Georgia O’Keeffe: 10 things to know

I had the pleasure to visit O’Keefe’s museum in Santa Fe in 2014. It really was a discover for me. I of course knew her flower paintings, but I particularly love her landscapes of New Mexico, very close to minimal and abstract painting. And most of all, she was a beautiful Woman in all her choices of life.

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Ahead of the sale of five works by one of the most significant artists of the 20th century, we take a closer look at the life, loves and landscapes of the ‘mother of American modernism’(…).

 

François Morellet, mort d’un éclaireur – Culture / Next

Connu notamment pour ses oeuvres à partir de néons, l’artiste est décédé mercredi à l’âge de 90 ans.

Ses néons, arcs de cercle inclinés selon des angles rigoureusement déterminés, continueront à briller sur les façades d’immeuble un peu partout en France, de Nantes à la Défense, sans leur auteur. François Morellet est mort ce mercredi, à 90 ans, à Cholet (Maine-et-Loire), là où il est né en 1926. Quant aux vitraux géométriques que le Louvre lui commanda en 2010, de son vivant, chose rarissime, ils sont également toujours en place, filtrant la lumière dans l’escalier Lefuel.François Morellet en février 2011 à Paris, au centre Pompidou.François Morellet en février 2011 à Paris, au centre Pompidou. (Photo AFP)Si l’artiste laisse derrière lui une œuvre fournie et bien visible, variées dans ses formes et ses supports (peinture, néons, sculptures), il a pourtant commencé cette activité comme un simple passe-temps. (…)

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My grandfather Joan Miró

‘My grandfather Joan Miró was an artist 24 hours a day, 365 days a year’

 

Joan Punyet Miró recalls a childhood spent amid the ‘great labyrinth of colours’ in the artist’s Mallorca studio — and his deeply personal relationship with the Red Cross.

What are your memories of your grandfather?

Joan Punyet Miró: Quite remarkable. I was just 10 years old when he was 85. I remember walking with him to his studio in Palma de Mallorca and, once there, being surrounded by hundreds of paintings and drawings. I would walk through this great labyrinth of colours — of blue, red, yellow, black and green, splattered all over the floor and his desk.

Aside from this colourful image, which has remained in my subconscious, another thing I remember about my grandfather is his social, political and cultural engagement with Spain, following the death of dictator Francisco Franco. The King, Juan Carlos I, would come and talk to him about the country’s transformation from dictatorship to democracy.

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